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La Blairelle en colère
12 avril 2016

La contraception hormonale : LA solution idéale ? Pas si sûr !

Aujourd’hui, je vais vous parler un peu de mon vagin et de mon utérus, désolée pour celles, ceux et celleux que ça pourrait choquer. J'insérerai pas mal de témoignages que j'ai pu glaner par-ci par-là, histoire de me sentir moins seule, parce que je me sens un peu exhibitionniste d'en parler comme ça !

 

Actuellement, il existe pas mal de méthode de contraception pour les femmes : on a celles qui jouent sur les hormones (patch, pilule, stérilet hormonal, implant, injections, anneau vaginal), le spermicide (en gel ou sur éponge), les méthodes mécaniques (préservatif féminin, le diaphragme, le stérilet en cuivre), les méthodes dites « naturelles » (connaissance de sa propre fertilité (examen de la température et/ou de la glaire cervicale), coït interrompu(ou retrait)), ainsi que la stérilisation pure et simple (très difficile à obtenir avant 35/40 ans sans avoir eu d'enfants auparavant). (Je parlerai des contraceptions d’urgence un peu plus tard).

Pour les hommes, il y a soit le préservatif masculin, soit la stérilisation définitive. Aucun entre-deux.

Pour plus de renseignements, vous pouvez aller ici : 

ChoisirSaContraception

Le tableau ci-dessous 1 permet de comparer les contraceptifs, selon leur efficacité théorique et leur efficacité réelle. Les méthodes les plus efficaces, que ce soit en théorie ou en pratique, sont : les implants, les stérilisations, les progestatifs injectables, les DIU (dispositif intra-utérin).

http://www.choisirsacontraception.fr

 

Ou là :

Contraception - Sexplique

Il existe de nombreux moyens de contraception et chacun d'eux présentent à la fois des avantages et des inconvénients. Le choix d'une méthode contraceptive est une décision très personnelle qui peut varier en fonction des préférences, des besoins, des habitudes de vie et des valeurs des utilisateurs et utilisatrices.

http://sexplique.org

 

 

Je vais aujourd’hui particulièrement parler de la contraception hormonale. On nous la vend comme une panacée, et c’est vrai que fut un temps, elle l’a été. Elle a été une vraie libération pour les femmes à l'époque, hors de question de le nier. Mais quel est le bilan 50 ans après ? Le bilan, il n’est pas aussi rose que ce qu’on veut nous faire croire. Evidemment, il y a un grand nombre de femmes qui prennent la pilule et pour qui c’est super, et franchement je suis super contente pour elles. Mais il y a aussi toute une frange de la population féminine que la contraception hormonale rend malade, de manière plus ou moins impressionnante et détectable, et ça, on nous en parle très peu quand on va chez le médecin pour demander la pilule.

 

Mon expérience avec la contraception hormonale

 

Or donc, dans le cadre d’une relation sans risque de MST, j’ai tenté le patch contraceptif. Déjà, pour vous planter le tableau, je déteste l’idée de jouer avec mes hormones, vraiment. Je n’aime pas l’idée de foutre le bazar dans une mécanique de précision qui fonctionne extrêmement bien (dans mon cas) et qui me fout une paix royale.

Pourquoi le patch ? Parce que j’ai essayé de me faire poser un stérilet en cuivre et qu’il n’a absolument jamais voulu passer le col de l’utérus (même avec les médicaments pour amollir le col). Avec le recul et en m’étant renseignée un peu plus, l’un des effets secondaires du stérilet cuivre étant des règles plus abondantes et fréquentes, jene pense pas que ça m’aurait convenu de toute façon. Mes règles sont gentilles dans le sens où elles ne me font pas mal, mais elles sont déjà longues (7 jours) et surtout très abondantes, parfois à la limite de l’hémorragie, donc ça aurait pu se révéler problématique ! Mais avec des « si »… Toujours est-il que ma solution de prédilection, le stérilet, n’était pas possible.

Pourquoi pas la pilule ? Parce que j’arrive déjà pas à prendre mes médicaments contre l’asthme, alors que ça m’empêche de faire des crises qui peuvent me tuer, alors vous vous doutez que prendre une pilule par jour tous les jours pendant des mois et des mois, j’en suis incapable. Faut aussi se connaître, j’ai pas envie d’être la fille qui se retrouve enceinte parce qu’elle a pris sa pilule n’importe comment, et je SAIS qu’un jour ou l’autre je l’oublierai. Le patch, ça va, faut y penser une fois par semaine, c’est gérable.

 

Donc le patch. Bon, déjà je passe sur le fait que la colle du patch me démangeait. Le problème, c’est qu’au bout de 3 mois, je me suis rendue compte que j’avais développé tous les symptômes d’une hypothyroïdie : froid constant (à trembler au fond de mon lit avec 2 couvertures et une bouillotte), fatigue constante (12h de sommeil par nuit, c’était encore pas assez), début de dépression, prise de poids, hormones qui faisaient n’importe quoi (la TSH crevait le plafond alors que ma prise de sang de l’année précédente montrait que tout allait parfaitement bien), j’étais malade en permanence. Ah, et pour ajouter au côté folklorique, ça avait modifié ma flore vaginale et foutu une mycose, oui, oui, moi qui n’en avais jamais eu de ma vie ! J’étais RA-VIE.

 

Je vais chez mon médecin et je lui explique tout ça en lui disant « vous pensez pas que ça peut être le patch quand même ? » et là elle me répond « oh ben non il n’y a pas de raison ». Alors si, déjà, il y a une raison puisque ça fait partie des effets secondaires, et ensuite parce que je n’avais changé RIEN D’AUTRE dans mes habitudes. J’avais déjà mis 3 mois à me dire que si j’étais moralement pas bien c’était peut-être pas que à cause du stress et que si j’avais froid tout le temps c’était peut-être pas qu’à cause de l’hiver qui venait, et là on venait me dire que je fabulais. Bref, n’écoutant que mon corps, j’ai arrêté le patch. En 3 semaines j’allais mieux. Alors d’accord je ne suis pas médecin, mais bon, je vais quand même rester sur mon idée que je fais partie de la minorité de femmes que la contraception hormonale rend malade.

 

J'appartiens peut-être à une minorité, mais je ne suis pas la seule. La pilule a de nombreux effets secondaires plus ou moins graves ! On en trouve certains listés ici : 

Contraception : mieux comprendre pour bien choisir

Contraceptifs, l'essentiel en une page Les contraceptifs sont l'ensemble des moyens pour éviter une grossesse. Chimique, hormonal, mécanique, naturel, le contraceptif idéal est différent pour chaque femme et pour chaque couple au cours de sa vie. Vous hésitez entre plusieurs moyens contraceptifs ? Nous vous proposons les réponses à toutes les questions que vous vous posez.

http://contraception.ooreka.fr

 

La pilule est déconseillée dans de nombreux cas (si vous êtes fumeuses, si vous avez de la tension ou du cholestérol…) et pourtant on nous la vend quand même comme LA solution. Il ne faut pas oublier aussi qu’il y a un effet secondaire dont il est très difficile de quantifier le nombre de patientes atteintes : la baisse de la libido. Une libido en berne, ça peut venir de plein de choses, un manque d’intérêt pour la chose, du stress au boulot, la fatigue, des problèmes avec son partenaire, j’en passe. Sur ce sujet il y a des années, j’avais lu la « Lettre ouverte à la gynéco qui n’a pas sauvé ma libido », lettre passionnante mais que je n’arrive pas à retrouver à présent, le site « zone zérogène » sur lequel je l’avais vue ayant disparu. On en trouve encore des extraits, cela dit. Sinon vous pouvez aussi consulter cet autre témoignage :

Ma petite histoire de pilule

Sujet peut-être un peu sensible aujourd'hui puisque très personnel. Je commencerai donc par dire qu'il s'agit de ma propre expérience, de mon ressenti, abordé d'un point de vue très subjectif. Je ne porte pas de jugement sur la façon de faire des autres, vraiment.

http://www.leblogdelamechante.fr

 

 

Donc, premier point de ce post : ça serait bien qu’on arrête de considérer la pilule/le traitement hormonal comme la panacée, et qu’on écoute les femmes qui viennent se plaindre d’avoir mal, d’avoir une baisse de libido, une sécheresse vaginale, ça serait bien qu’on arrête de partir du principe que ça va forcément convenir à tout le monde. Ce n’est pas le cas. Arrêtons aussi de partir du principe que ce ne sont que des "désagréments". La sécheresse vaginale et la baisse de libido, j'appelle pas ça un simple "désagrément". Et de toute façon à partir du moment où ça dérange, ce n'est plus un simple désagrément. La démangeaison du patch, JE vivais ça comme un désagrément, peut-être que d'autres l'ont vécu comme un problème majeur, il n'y a pas d'échelle, pas de validation à faire pour un problème. Si quelqu'un voit un problème quelque part, alors ce problème existe.

 

Pourquoi pas les hommes ?

 

Il y a de nombreux sites qui expliquent très bien pourquoi on n’a pas encore de pilule contraceptive pour homme, ici, par exemple :

Genre, politique et sexualité

La contraception est aujourd'hui considérée comme une prérogative féminine : lorsqu'on parle de contraception, on pense en premier lieu aux contraceptions féminines ayant une forme de permanence (stérilet, contraception hormonale voire stérilisation féminine) en empêchant la fécondation (en bloquant l'ovulation dans le cas de la pilule ou la nidification dans le cas du stérilet), tandis que la contraception masculine empêche généralement la rencontre des gamètes au moment de l'acte sexuel (préservatif, retrait).

https://gps.hypotheses.org


ou là : 

Pourquoi la pilule pour homme n'existe pas

L'absence d'innovation en matière de contraception masculine n'est sans doute pas entièrement liée à des raisons techniques, mais plutôt à l'impossibilité de construire une image convaincante de son usager potentiel.

http://www.scienceshumaines.com


Il existe des pilules masculines, mais bizarrement elles ne se sont jamais retrouvées sur le marché. On parle d’effets secondaires, mais de mes lectures je n’ai pas vu grand-chose qui justifie que nous on se tape les effets secondaires dont j’ai parlé toutes seules ! Je sais pas, quitte à être dans le caca, autant le partager à deux ? On pourrait au moins avoir le choix, en tant que couple, de savoir qui porte ce fardeau, ou alterner, pourquoi pas ?

 

Les injections d’hormones existent pour hommes aussi, mais seuls 2 hôpitaux dans toute la France veulent bien le faire. Pourquoi ?

 

Il existe une autre possibilité, qui est en voie de développement, un gel nommé RISUG ou Vasalgel, très prometteur : ce gel serait d’une pose facile, fonctionnerait à 100% (à moins d’avoir été mal posé), facile à enlever. C’est une injection par piqûre, rien de barbare (en tout cas pas plus que de se faire poser un stérilet) d’un gel qui vient se coller sur les parois du canal déférent et paf, pas de bébé. Sauf que sa commercialisation ne cesse d’être repoussée : manque de financements, d’après ce que j’ai pu trouver comme infos sur internet. Sans déconner, manque de financements alors que la majorité de la population masculine comme féminine souhaite une avancée dans le domaine de la contraception masculine ? Comment c’est possible ?

Bon, j’aime pas tomber dans les théories du complot et compagnie, mais là vraiment je me demande s’il n’y a pas quand même une certaine réticence de la part des labos à produire un gel peu onéreux qui n’aura besoin d’être changé que tous les 5 ans par une procédure elle aussi peu onéreuse, et qui risquerait donc de détrôner la pilule en tant que moyen de contraception. Je ne sais pas, mais face à une demande et un besoin aussi énorme, on se demande un peu pourquoi ça ne remue pas plus.

 

Les méthodes « naturelles » et l’avortement

 

Donc je résume : personnellement, je ne peux prendre ni le stérilet ni un traitement hormonal. Il se trouve que mon amant actuel ne ressent absolument rien lorsqu’il porte une capote, même très fine. Alors quoi faire ? Eh bien on s’est tournés vers les méthodes naturelles. Déjà, le coït interrompu fonctionne bien. Je suis en train de me renseigner actuellement sur les méthodes pour mieux connaître sa propre fertilité.

On crache toujours sur ces méthodes en disant qu’elles sont « peu fiables ». Alors certes, elles ne sont pas aussi fiables qu’une capote si on les utilise pour éviter d'avoir un bébé, mais une capote, ça peut casser, aussi. La pilule, il suffit de mal la prendre, d’avoir pas de bol, etc. Bref, je n’estime pas prendre plus de risques qu’une autre. Ca me permet aussi, à moi, de me sentir un peu plus proche de mon corps, de me réconcilier avec mes règles (au lieu de les détester dès que je les ai, je suis contente de les voir arriver, au moins le premier jour, après, j’en ai marre), et aussi d’impliquer réellement mon amant dans la contraception, qui n’est plus mon problème uniquement. Nous y réfléchissons ensemble à chaque rapport et nous écoutons le corps de l'autre. Nous sommes obligés de fonctionner vraiment en équipe sur ce coup-là ! Je ne dis pas non plus que c'est la panacée, mais simplement que c'est une solution, ni mieux ni pire qu'une autre, et que j'aimerais bien qu'on me respecte quand je dis que j'ai choisi cette solution au lieu de lever les yeux au ciel en sous-entendant que je suis une écervelée qui "prend des risques".

 

Car soyons honnêtes, la contraception, de manière générale, c’est souvent le problème de la femme. Et c’est elle qui est blâmée s’il y a un bébé qui arrive. On parle de femmes qui ont fait un bébé dans le dos sans se dire deux secondes que l’homme a quand même sa responsabilité là-dedans, que lui aussi il était là ! On vient dire aux femmes que l’avortement c’est pas un moyen de contraception. Ben si, désolée, mais si on considère que la contraception c’est « ne pas avoir de bébé », l’avortement en est un. Je n’ai jamais eu à en vivre, mais ces derniers mois, vu ma vie sexuelle, je me dis qu’il est possible que je doive un jour en passer par là. Et alors ? Est-ce que ce sera à cause d’un manque de ma part ? Non. Nous (mon amant et moi) prenons peut-être des « risques », mais nous les prenons en toute conscience, en sachant ce que nous faisons, et en grande partie parce que ce qui est proposé n’est pas encore suffisant. Qui sont les médecins, qui sont les gens qui jugent, pour dire à partir de combien d’avortement ça vait « trop » d’avortement ? Qui sommes-nous pour dire « cette jeune femme le prend trop à la légère » ? En vrai, je ne sais pas comment je pourrais le vivre si j'étais confrontée à cette situation. Peut-être que je le vivrais bien, comme ces femmes :

IVG, Je vais bien, merci !

" Sexua­li­tés, Contra­cep­tion, IVG ", c'est le nom du nou­veau numéro vert natio­nal porté par le Plan­ning Familial Le Plan­ning Fami­lial se féli­cite du lan­ce­ment du numéro vert " Sexua­li­tés, Contra­cep­tion, IVG " aujourd'hui, jour­née inter­na­tio­nale de lutte pour la dépé­na­li­sa­tion de l'avortement.

http://blog.jevaisbienmerci.net

 

Ou peut-être que je le vivrais très mal. Peut-être que je serais triste et que ce serait une souffrance que de devoir avorter.

 

Dans tous les cas, le jugement médical et social qui est posé sur les femmes qui décident d'avorter est, à mon sens, particulièrement cruel. Les procédures sont compliquées ( http://www.ivg.net/ ) lourdes à vivre. Quel que soit l'état d'esprit, forcer une femme à voir et à entendre un foetus qu'elle ne souhaite pas garder, je trouve ça cruel. Pendant longtemps un examen psychologique était également nécessaire, là encore je trouve ça cruel. J'ai parlé avec des médecins et des infirmières qui disaient que quand ils ou elles voyaient qu'une femme revenait souvent (souvent, c'est quoi ?) pour avorter, ils et elles leur faisaient la leçon. De quel droit ?

 

Nous avons toute la responsabilité sur le dos (car même dans le cas de l’utilisation du préservatif masculin, si la capote craque, c’est à qui de prendre la pilule du lendemain ?), mais si un truc merde quelque part, c’est encore nous qui sommes blâmées, et si on prend nos responsabilités et qu’on va avorter, alors là on doit le faire la mort dans l’âme, et puis faudrait pas que ça arrive trop souvent, hein, sinon on est ENCORE blâmées. Personne n'a le droit de préjuger de l'état d'esprit de quelqu'un d'autre, personne n'a à juger pour l'autre comment elle doit vivre une procédure aussi intime. Là encore, des gens viennent nous dire ce que nous devons faire de notre corps, comment nous devons nous sentir, si on est « trop » ou « pas assez ». Sérieusement, vous n’en avez pas marre ?

 

Donc quand je vois qu’en Pologne, il y a en ce moment même une loi qui risque de passer pour restreindre encore un peu le droit à l’avortement (qui n’est légal QUE dans le cas de malformation du fœtus, de viol, d’inceste ou de danger pour la mère, ce danger n’incluant visiblement pas « ma vie va être foutue si j’ai un gosse maintenant, enlevez-le moi s’il vous plaît »), ça me fait peur, et ça me met en rage. Dans une rage noire, qu’un parlement constitué d’hommes vienne dire aux femmes quoi faire de leur corps, alors qu’ils seront les premiers à hurler à la conspiration si leur maîtresse (s’ils sont comme en France, ils en ont forcément) se ramène un jour chez eux en demandant une pension. En rage parce que ça va ruiner la vie de jeunes gens qui ne demandaient rien d’autre que de partager un peu leur corps avec quelqu’un d’autre, et qui vont se retrouver à arrêter leurs études, à se marier sans amour, par responsabilité. En rage parce que ça va forcer des mères qui ont déjà les 2 gamins qu’elles voulaient à en avoir un 3e alors qu’elles sont fatiguées et n’en veulent plus, et que leur couple bat de l’aile et qu’avoir un nouvel enfant n’arrangera rien du tout. En rage parce qu’encore une fois, on va décider unilatéralement, à notre place, sans nous consulter, de ce qui est bon pour nous. En rage aussi parce que l’Union Européenne intervient sur plein de sujets, mais pas sur ce droit fondamental des femmes à disposer de leur corps. En rage.

 

Donc voilà, sur toutes ces questions, je n'ai aucune réponse péremptoire à donner. J'essaie de ne jamais être trop péremptoire de toute façon. J'espère que personne ne s'est senti jugé dans sa manière de gérer son corps et son propre ressenti. Le but de ce post était de râler, déjà (j'aime bien râler), de parler de solutions alternatives, et d'encourager les gens, de manière générale, et la sphère médicale en particulier, à ne pas porter de jugement sur les choix des unes et des autres. Un médecin est là pour informer ses patients et les aider à choisir la solution la plus adaptée à eux, pas pour imposer et juger, il y a ici, à mon sens, une dérive bien trop fréquente.

 

PS : sur les conseils d'une amie, j'ai édité ce post, notamment la partie sur l'avortement, que j'avais très mal écrite. Si vous êtes tombé(e) sur la première mouture et qu'elle vous a choqué(e), je vous présente mes excuses.

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